Playlists Anonymes #4 : Pandrox

Quand je ne mange pas du bambou, j’aime hiberner et me nourrir goulûment de tout ce que la Toile peut m’offrir. Enfant de l’Internet – comme disent les moins jeunes que moi –, j’ai très certainement passé un quart de mon existence à surfer et à regarder des séries. J’ai un diplôme en procrastination (et ça, c’est un concept dont mon conseiller d’orientation avait oublié de me parler).

J’ai eu les cheveux bleus, puis je les ai rasés, et recolorés. On pourrait donc facilement dire que je suis capillairement instable. Un tempérament changeant qui reflète parfaitement mes goûts en matière de musique et de cinéma. Je ne peux cacher mon amour pour l’univers Marvel et mes déhanchements lorsque j’entends du Elvis Presley, que ce soit dit. Je suis une fan inconditionnelle de tous les styles musicaux. Du rock principalement, de la folk ces derniers temps. Comme chante Pocahontas : « Ce que je préfère dans les rivières, C’est que printemps, été ou hiver, Elles changent toujours d’humeur et de couleur. » C’est une bonne illustration de ma façon d’aborder la musique. (Comprendra qui voudra.)

Je suis accro à la musique, il m’en faut matin, midi et soir. Prescription de mon docteur pour garder la bonne humeur. Je peux passer des heures à chercher des artistes qui montent, à regrouper leurs sons dans un mix, pour en faire profiter celles et ceux qui seraient éventuellement intéressé-e-s. Générosité, j’écris ton nom. Cette playlist-là est donc très « fin de printemps gris à Paris, début de vacances ». Heureusement, on ne m’a pas demandé de lui trouver un titre…