Qui sommes-nous ?
J’aime péter l’ambiance en soirée en détruisant par la force de mon esprit critique tes œuvres de pop culture préférées. Du coup, plus personne ne m’invite. Je peux donc m’adonner à mes trois activités préférées : rester chez moi, lire et boire du café sans sucre.
Je traque sans relâche les fautes d'orthographe et le manque de nuance. Sinon, dans la « vraie vie », je suis farouchement féministe, et je n’aime rien de plus que me blottir sous ma couette pour regarder des séries ou écouter des podcasts.
Trentenaire, en apprentissage permanent, un peu perdue dans la vie, féministe, consciente de ses privilèges, un peu inconsciente sur le reste. Je dévore livres et gâteaux, j'écris car c'est plus facile que de parler, et je voudrais passer mon temps en pyjama.
J'écris, pour donner du sens à ma vie, et je brûle chaque jour de colère. Jusqu'à me consumer, sûrement. Je lutte contre les inégalités systémiques, et j'écris sur beaucoup de choses, surtout ma vie. J'extrais de mon corps l'indicible pour le hurler. Co-créatrice de Polysème Magazine, revue féministe et artistique.
Femme-orchestre créatrice d’images et de mots, et passionnée par beaucoup trop de choses beaucoup trop différentes. Parfois (souvent), je m’imagine en super-héroïne.
Féministe convaincue, cinéphile et sériephile avertie, un poil obsessionnelle. Lisa Durand est également rédactrice au sein du média/podcast cinéma et féministe Sorociné ainsi que membre de l’équipe de programmation du Smells Like Teen Spirit Festival, festival dédié aux teen movies.
Un air taciturne dissimule tant bien que mal mon esprit vagabond. Souvent la tête dans les nuages, il m’arrive d’en sortir pour discuter féminisme, véganisme et solidarité !
Étudiante en histoire de l'art et rédactrice à mes heures. Les yeux souvent rivés sur des pages de romans. De Jane Austen à Stephen King en passant par Orson Scott Card, mes lectures reflètent l'envie du moment.
Diplômée en Lettres modernes et en Communication, je me rêve journaliste. Ou écrivaine, soyons folles. En attendant, j’écris sur des choses et des gens, passionnément.
Après un master d’anglais et un mémoire sur la représentation des femmes dans les séries TV américaines, j’aime toujours à disséquer la pop culture qui en dit tant sur notre rapport au monde. Les études de genre et le féminisme sont une autre passion que j’entretiens avec ferveur.
Illustratrice queer et féministe, je passe mon temps entre le roller derby, me faire encrer le corps, lire des livres sur les femmes pirates et les amazones, et regarder les étoiles.
Future docteure en philosophie, rabat-joie féministe, adulte en herbe et modèle à mes heures perdues. Je vis pour le Québec, les memes, les romans de Stephen King et le chocolat. Hufflepuff, si tu te posais la question.
Féministe et baroudeuse, j'aime parcourir les livres autant que les kilomètres. La culture est mon fil rouge : je m'épanouis dans les salles obscures, devant une toile ou dans une fosse bondée. Mon dada ? Refaire (et défaire) le monde autour d'un verre. Tout ce qui m'émeut m'anime.
Booktubeuse féministe et étudiante en M2 Etudes Cinématographiques. Autrice en devenir. Je vis pour le fromage.
J'aimerais manier les mots sans maladresse, à défaut, je me nourris de ceux des autres. Ici, je participe principalement au Think Tank. Ma zone de confort est faite de livres, de chats et de tatouages.
Photographe et vidéaste, j’ai souvent la tête dans les étoiles, les mains dans les poches et le cœur en Méditerranée (je viens du sud, le vrai, pas celui où on dit « chocolatine »). Autrice à mes heures perdues, car il faut bien quelques éternels utopiques...
Doctorante en littérature et cinéma, je suis férue de culture et j'aime me perdre dans les rues de la capitale pour dénicher de nouvelles pépites artistiques. Les salles obscures sont ma deuxième maison et je suis d'une curiosité insatiable lorsque l'on évoque la musique, la danse, l'écriture, les spectacles ou l'art contemporain. Un seul mot d'ordre dans ma vie : la quête d'émotion(s).
Photographe et rédactrice indépendante basée à Rennes, amatrice de vin naturel, de bonne bouffe végétarienne, d’arts sous diverses formes. Connais plus de répliques des Simpsons par cœur que des théorèmes mathématiques (chacun-e ses choix).
Illustratrice ascendant graphiste, et autrice de BD (dessinatrice de Péyi An Nou, publié aux éditions Steinkis en 2017, et Profession solidaire : Chroniques de l’accueil, à paraître en juin 2020 chez Steinkis/Les Escales). Féminisme et véganisme au programme.
Rédactrice, j'ai semé quelques années en Russie, abandonné quelques larmes devant les ruines de Pétra et les pyramides de Gizeh. J'écris sur du sérieux (le Caucase) et du léger (les sardines)... J'ai très très envie de m'enfuir au Congo et d'aller y faire quelques checks aux gorilles.
Jeune afroféministe et incorrigible rêveuse. J'aime la musique, le thé vert et les révolutions.
Ancienne personne de droite reconvertie, j’embête les gens en parlant très fort de féminisme, de végétalisme, d'antiracisme, et plein d’autres trucs en « isme ». J’aime mes cheveux, lire, manger et dormir.
Native du bassin d’Arcachon, je suis diplômée en cinéma et en études de genre. Je m’abreuve de séries queer et je joue encore à Pokémon Jaune.
Métisse franco-marocaine, féministe, multipotentialiste, je suis toujours prête à me lancer corps et âme dans un sujet qui me passionne. Quand je ne suis pas occupée à vouloir sauver le monde et les gens qui m'entourent, je dessine, peins et modèle la terre.
Renarde dotée de capacités intellectuelles humaines aux idées décalées et originales.
Architecte de formation, j’ai une peur ultime de me lasser, alors je me diversifie, naviguant entre architecture, graphisme et illustration. Je me nourris des gens qui m’entourent, prône l’équité dans toutes ses formes, et des fois je danse seule dans des espaces pour me les approprier.
Voyager entre ombres et lumières pour tenter de comprendre notre monde, le lire avec de grands yeux curieux, et poser mes mots dessus…
Journaliste en devenir. J’essaye de sauver le monde, mais je passe plus de temps à regarder des séries.
Illustratrice à poils longs, féministe à temps plein, j’aime dessiner les gens qui m’entourent et faire des cookies véganes. J’exprime mes convictions et valeurs à travers mes dessins.
Beyrouthine et parisienne, végétalienne convaincue, amatrice de thé à la menthe, de romans russes et de séries animées, je ne fais que suivre des chemins détournés.
Courtney Morgendorffer est née en 2014 entre deux pintes sur un comptoir de bar. Elle a pris très au sérieux l'injonction entendue à un concert de Refused : « don't forget to be fucking angry » (à moins que ce soit « hungry », elle n'est pas sûre d'avoir bien entendu), et depuis, elle alimente sa colère à coup de lectures de textes féministes et de musique bruyantes.
Rédactrice et peintre partagée entre la volonté de m’engager dans des combats sociétaux et partir en voyage dans le monde des rêves. Au fond, j’aurais juste aimé être un chat.
Créative, j’aime mettre de la poésie dans mon quotidien. C’est ce qui me fait avancer. Selon les saisons, je dessine, je photographie ou j’écris. Après quelques années passées à exercer le métier de médiatrice culturelle, je me consacre actuellement à une formation en langues des signes et à la réalisation de mon premier petit livre illustré.
Après avoir parcouru une partie du globe pendant de nombreuses années, je me suis installée à Paris en 2012. Diplômée d'un master 2 en Journalisme, je suis passionnée par l'art en général mais aussi par l'actualité nationale et internationale.
Scientifique de formation, l’écriture occupe cependant une grande place dans ma vie. Presque autant que mes deux chats et mon amour du thé. Végétarienne tatouée aux cheveux courts, j’adore jouer des étiquettes et des identités.
Doctorante en archéologie, sorcière baroudeuse, Bretonne féministe, je suis une rate de bibliothèque qui ne rate jamais l’heure du thé. J’attends toujours ma lettre pour Poudlard et j’adore jouer au sloubi.
Une jeune afroféministe incurablement optimiste. Écrivaine en herbe. Écrit sur Atoubaa et Deuxieme Page. Étudie les questions sur l'afroféminisme, le féminisme noir Nord américain, la construction sociale de l'identité afropéenne, le womanisme, et suit assidûment l'actualité française, américaine, et de l'espace diasporique noir dans son ensemble.
Graphiste à lunettes ascendant féministe bruyante, je suis en charge de la mise en page du magazine. Lorsque je ne suis pas en train de caler des colonnes de texte, j’aime dessiner des femmes dodues, et refaire le monde autour d’une pinte au bar du coin.
Artiste-auteur-e, j’érige la création au rang de « rare raison d’être ». J’ai la volonté de générer de l’étrangeté, de la beauté et de la connaissance, autant que possible, pour le plus grand nombre. J’espère ainsi interroger, déranger, émerveiller ou éveiller et, si possible, rendre l’existence meilleure... ou du moins plus légère.
Jeune poétesse férue de confection de tissu, davantage portée sur les mathématiques que sur la vie mondaine. Ses intérêts sont éclectiques. Elle considère sa double nationalité comme un handicap précieux et aborde la culture comme on aborde un poème : un territoire vierge, et un perpétuel déracinement.
Artiste plasticienne et illustratrice, je suis diplômée de l’École Supérieure d’Art des Pyrénées depuis 2015. Je réalise des peintures numériques en réinterprétant des images récoltées quotidiennement. Mes compositions se nourrissent d’images de différentes sources, qu’il s’agisse des réseaux sociaux, de publicités ou de films. Par le biais de collaborations, je cherche des contextes qui provoquent de nouvelles rencontres et ainsi de nouvelles façons d’appréhender l’image.
Développeurs
Cliquez pas sur mon nom, vous n'y trouverez pas d'articles. Par contre, j'ai fait tous les trucs jolis autour. (✿◕‿◕✿)
Les ancien-ne-s
Diplômée en Journalisme et en Science politique, je suis passionnée par l'histoire latino-américaine, et notamment les cultures indigènes. J'aime l'idée que je n'ai pas de maison, et qu'il me reste autant d'années à vivre que de mondes à découvrir. Féministe, j'ose imaginer que demain sera construit par les femmes autant que par les hommes.
Étudiante à Sciences Po Bordeaux en Affaires publiques le jour, je troque mon rationalisme juridique contre des songes poétiques la nuit. Atteinte du syndrome de l'âge d'or, je passe mon temps à la recherche du temps perdu, dans la poussière des livres achetés en brocante et l'odeur jaunie d'un passé si précieux.
Je sors parfois de ma coquille pour discuter musiques électroniques et expérimentales. J’aime aussi traiter de sujets plus légers, comme l’actualité économique et le social business. N’hésitez pas à me suivre sur Twitter pour augmenter ma cote de popularité numérique.
Étudiante en Cinéma, spécialisée dans la recherche et le journalisme culturel.
Journaliste. Férue de cinéma, croqueuse de livres, amatrice de Spritz.
Marine a participé à Deuxième Page de novembre 2014 à avril 2015, avant de poursuivre des études au Centre de formation des journalistes.
Étudiante littéraire et journaliste culturelle, j'aime développer un sujet à l'excès et faire la cuisine.
Diplômée en Management des médias et de la culture, passionnée par l'écriture et le voyage, j'aime autant faire la fête jusqu'au bout de la nuit que veiller en compagnie d'un bon livre. Franco-tunisienne qui aime se considérer comme citoyenne du monde, végétarienne et féministe, je suis sensible à mon entourage et je fais tout avec passion.
Photographe, rédactrice, diplômée d’un master en Communication des médias. Hédoniste, en quête de sens mais pas d’absolu, jongle entre fureur de vivre et nécessité d’avoir le temps.
Lire et faire lire, voir et faire voir, écouter et faire écouter, goûter et faire goûter, savoir et faire savoir... J'aime partager ce qui me touche, en bien ou en mal, ce qui me surprend, ce qui m'apprend, et c'est par écrit que je le fais le mieux.
Quand je serai grande, j’aimerais faire une thèse en études de genre, apprendre une quatrième langue, devenir professeure de yoga, apprendre à tricoter de gros pulls très chauds et adopter deux chatons.
Souvent d'humeur Molotov, rarement peignée, je raconte des histoires (un peu) et je dis des gros mots (beaucoup).